Mnemo Therapeutics lève 75 M€ lors d’un tour de financement de série A pour accélérer le développement de sa plateforme épigénétique intégrée nouvelle génération de ciblage des cellules CAR-T

  • Le financement a été mené par Casdin Capital et Sofinnova Partners, l’investisseur initial en amorçage, et un autre investisseur confidentiel
  • Mnemo développe des antigènes épigénétiques, des cellules T plus puissantes et un processus de production de premier plan, sur la base de travaux de recherche révolutionnaires issus de l’Institut Curie et du Memorial Sloan Kettering

PARIS, 16 juin 2021 /PRNewswire/ — Mnemo Therapeutics, une société de biotechnologie développant de puissantes thérapies cellulaires sur la base d’un outil de ciblage innovant, de cellules T plus performantes et d’un processus de production de premier plan, annonce aujourd’hui avoir bouclé un tour de financement de série A de 75 millions d’euros. La série A a été menée par Casdin Capital, Sofinnova Partners, l’investisseur d’amorçage, et un autre investisseur, rejoints par les fonds Redmile, Emerson Collective et Alexandria Venture Investments.

Mnemo Therapeutics

« Mnemo Therapeutics s’est donnée pour mission ambitieuse de transformer la vie des patients sur la base du leadership technologique de ses co-fondateurs scientifiques, Dr. Sebastian Amigorena, chercheur CNRS à l’Institut Curie et Dr. Michel Sadelain du Memorial Sloan Kettering Cancer Center », indique Alain Maiore, Président de Mnemo. « Grâce au soutien de nos investisseurs de premier plan et à la forte expérience de notre équipe, nous avons levé la plus importante Série A jamais réalisée en France dans le secteur des biotechs pour développer des thérapies cellulaires puissantes ayant la capacité d’apporter des solutions uniques pour les patients atteints de cancers solides et du sang ».

Le financement de série A permettra à Mnemo d’accélérer le développement de sa plateforme EnfiniT de ciblage et de Récepteurs Antigènes Chimériques (CAR) T de nouvelle génération, qui s’appuie sur les travaux de recherches pionniers issus de l’Institut Curie et du Memorial Sloan Kettering Cancer Center (MSK). La plateforme EnfiniT se compose d’un ensemble de technologies qui repose sur un outil de découverte E-antigen capable d’identifier avec une meilleure précision tumorale des antigènes spécifiques aux cellules cancéreuses. Combinées à l’ensemble technologique propriétaire EnfiniT qui améliore la mémoire et la persistance des cellules CAR T, ces cibles tumorales dédiées permettront d’accéder à une variété d’options thérapeutiques entrainant une meilleure réponse clinique que les thérapies cellulaires actuelles. S’appuyant sur un processus de production de cellules autologues et allogènes de premier ordre, la plateforme EnfiniT de Mnemo devrait être en mesure de dépasser les limites actuelles des cellules CAR T et de développer des thérapies cellulaires extrêmement efficientes et adaptables.

« Notre confiance dans l’approche unique et intégrée de Mnemo en matière de thérapie cellulaire nous a conduit à mener le financement d’amorçage en 2019. Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes convaincus de son potentiel pour apporter un nouveau standard de traitement à une grande variété de tumeurs solides et de cancers du sang, avec un impact possible sur d’autres maladies dévastatrices », poursuit Antoine Papiernik, Managing Partner et Président de Sofinnova Partners. « Nous sommes ravis d’accueillir un syndicat d’investisseurs internationaux aussi solides, qui nous rejoignent pour donner son plein potentiel à la technologie révolutionnaire de Mnemo ».

« La thérapie cellulaire est un domaine qui évolue particulièrement rapidement et les thérapies de nouvelle génération réclament des cellules T plus intelligentes, plus solides et avec une sensibilité supérieure aux antigènes spécifiques aux tumeurs » déclare Eli Casdin, Chief Investment Officer et fondateur de Casdin Capital. « Nous pensons que Mnemo a ces qualités et nous avons été très impressionnés par l’expertise scientifique et technologique de l’entreprise. Nous sommes impatients de soutenir l’équipe dans son travail pour faire avancer le champ des cellules CAR T et réduire la courbe de mortalité des cancers particulièrement difficiles à soigner ».

Le Président, Alain Maiore, a réuni une équipe expérimentée qui opère depuis le siège social de la société à Paris (France) et à New York (Etats Unis). Cette équipe est unie par une histoire commune autour de travaux fondateurs dans les thérapies de CAR T et une volonté inébranlable de transformer radicalement l’avenir des patients. Les fondateurs scientifiques de Mnemo comprennent :

  • Sebastian Amigorena, PhD (chercheur CNRS à l’Institut Curie)
  • Michel Sadelain, MD, PhD (Memorial Sloan Kettering Cancer Center)
  • Isabelle Rivière, PhD (Memorial Sloan Kettering Cancer Center)
  • Justin Eyquem, PhD (UCSF)

Aux côtés d’Alain Maiore, l’équipe de direction de Mnemo comprend :

  • François Gaudet, PhD, Directeur scientifique
  • Joseph Cerro, Vice-Président Information Technology
  • Stephanie Oestreich, PhD, MPA, Vice-Présidente des opérations Europe et Directrice de Alliance Management

« Mnemo réalise des avancées formidables dans le domaine de la recherche en thérapie cellulaire avec une équipe impressionnante et ambitieuse d’experts menée par Alain, qui avec talent réunit les meilleurs spécialistes des cellules CAR T à travers le monde » indique Dieter Weinand, Président du Conseil d’administration de Mnemo. « Mnemo a le potentiel d’améliorer de façon radicale la thérapie cellulaire et lui permettre de réaliser son potentiel pour combattre les tumeurs et vaincre les cancers incurables ».

Remarque : Dr. Sadelain et Dr. Riviere ont fourni des missions de conseil pour Mnemo et sont actionnaires de l’entreprise. Dr. Sadelain détient aussi des droits de propriété intellectuelle et des intérêts en lien avec les technologies de thérapies cellulaires que le Memorial Sloan Kettering (MSK) a licencié à Mnemo. MSK détient les droits de propriété intellectuelle et les intérêts financiers associés liés à Mnemo selon les termes de l’accord licence entre MSK et Mnemo.

A propos de Mnemo Therapeutics
Mnemo Therapeutics est une entreprise de biotechnologie spécialisée dans le développement de thérapies cellulaires puissantes permettant de créer des traitements disponibles. Avec sa plateforme EnfiniT, un dispositif innovant de développement de nouveaux traitements, Mnemo déploie une nouvelle approche innovante et intégrée de thérapie cellulaire. Grâce à l’identification précise d’une nouvelle classe d’antigènes ayant des capacités de ciblage spécifiques supérieures, et la capacité de reprogrammer efficacement les cellules T pour améliorer leur phénotype mémoriel et redéfinir leur ingénierie, Mnemo va transformer la réponse immunitaire pour combattre la maladie. L’entreprise a été co-fondée par l’Institut Curie et le Memorial Sloan Kettering Center.

Pour en savoir plus, visitez : www.mnemo-tx.com et suivez Mnemo Therapeutics sur Twitter (@MnemoTx) et LinkedIn.

A propos de Sofinnova Partners
Sofinnova Partners est un des leaders du capital-risque en Europe dans les sciences de la vie, avec une spécialisation dans la santé et le développement durable. Basée à Paris, Londres et Milan, l’équipe est composée de professionnels issus de toutes les régions du monde aux profils à la fois scientifiques, business et médicaux. Investisseur engagé, Sofinnova Partners s’implique pour créer des entreprises sur l’ensemble de la chaîne de valeur des sciences de la vie, de l’amorçage aux phases avancées de développement. La société s’associe à des entrepreneurs ambitieux, en tant qu’investisseur principal ou chef de file, pour développer des innovations ayant le potentiel de transformer positivement le futur de tous.

Créée en 1972, Sofinnova Partners est la société de capital-risque la plus établie en Europe. Bénéficiant de 50 années d’expérience, elle a accompagné plus de 500 entreprises à travers le monde devenues des leaders sur leur marché. Sofinnova Partners gère aujourd’hui plus de 2 milliards d’euros d’actifs. Pour plus d’information :  www.sofinnovapartners.com

A propos de Casdin Capital
Casdin Capital LLC a été fondée en 2012 et apporte une compréhension approfondie, une expertise et une perspective long terme au financement des innovations de nouvelle génération dans les sciences de la vie.  Pour plus d’information :  www.casdincapital.com

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SBS UnionPay Debit Card – Unlocking digital financial services, Financial inclusion and global e-Commerce in the Kingdom of eSwatini

MBABANE, eSwatini, June 16, 2021 /PRNewswire/ — Swaziland Building Society (SBS) and UnionPay International (UPI) jointly announced today the issuance of UnionPay debit, platinum and diamond cards in the Kingdom of eSwatini, providing customers of all income groups with a simple, secure and convenient payment experience. This debut plays a significant role following eSwatini’s national financial inclusion strategy, contributing to economic growth, improving financial inclusion, and creating a sustainable future.

According to UNCDF[1], financial inclusion is increasingly positioned as an enabler of broader development goals. More and more countries in Africa have included the financial inclusion efforts in their national development plans, underpinning the ongoing relevance and significance in the region.

“Today marks a key milestone and a strong collaboration between SBS and UPI, both organisations strongly believe the initiative will drive financial inclusion and technological innovation to repaint the payment landscape in eSwatini”, SBS & UPI joint statement.

The new SBS UnionPay cards enable customers to purchase at any point-of-sales and transact online nationwide ensuring safety and contactless payment experience. Locally the cards can also be used to withdraw cash from local ATMs, providing an inclusive payment environment for all customer needs.

A nationwide marketing campaign to raise awareness about the new cards and the diversified everyday scenarios such as shops, restaurants, petrol stations, clinics and more, enabling customers a localised efficient ways to pay will be launched shortly.

With over 59 years of steady growth, the Swaziland Building Society continues to be an innovative financial service provider offering customer-centric transactional, digital financial services and continues to improve its capacity to serve with a competitive edge.

With over 1.5 billion UnionPay cards issued in 70 countries and regions globally, UnionPay has expanded its acceptance network to 180 countries and regions in recent years. At present, UnionPay cards are widely accepted in Africa across all sectors, effectively meeting the diverse purchasing needs of UnionPay cardholders visiting and living on the continent. UnionPay cards are issued in over 10 African countries, including Kenya, Tanzania, Uganda, Ghana, South Africa, Madagascar and Mauritius. The Nilson Report (Issue 1154) shows that UnionPay ranks first among all card schemes in card issuance and transaction volume worldwide. UnionPay has launched various innovative payment products in Africa in response to the worldwide digital transformation and financial inclusion.

Laserfiche nommé acteur majeur dans un rapport d’analyse indépendant sur les fournisseurs de plateformes de contenu

LONG BEACH, Californie, 15 juin 2021 /PRNewswire/ — Laserfiche, le principal fournisseur de logiciels à la demande (SaaS) offrant des solutions de gestion intelligente du contenu et d’automatisation des processus opérationnels, a été nommé acteur majeur dans le rapport The Forrester Wave™: Content Platforms, Q2 2021. Laserfiche est l’un des 14 fournisseurs qui ont été évalués selon la rigueur de leur stratégie et leur offre actuelle.

Laserfishe Logo

Laserfiche a obtenu la cote la plus élevée possible pour les critères concernant les progiciels, le soutien des développeurs, les services de production de contenu et la feuille de route d’exécution. Selon le rapport, « la feuille de route de [Laserfiche] et sa vision axée sur le cloud lui permettent de déployer ses produits au sein de grandes entreprises, et son approche de mise en marché continue de mettre l’accent sur les marchés verticaux clés en ce qui a trait à la programmation. » Il indique également que « Laserfiche offre un soutien solide pour ses progiciels et les modèles de ses solutions, et facilite l’échange de ces modèles par l’entremise des communautés de clients et de partenaires. »

En conservant une approche de la gestion du contenu d’entreprise axée sur le cloud, Laserfiche se concentre sur l’offre d’une plateforme flexible et extensible qui s’intègre facilement aux applications des entreprises. L’entreprise continue d’offrir des services de gestion des dossiers, des formulaires électroniques et des capacités d’automatisation des processus d’affaires de pointe, y compris l’automatisation robotisée des processus et la saisie intelligente. Son souci constant de satisfaire sa clientèle favorise également l’innovation et un engagement concret auprès de sa communauté d’utilisateurs.

« Laserfiche continue d’être un chef de file dans le domaine de l’automatisation des processus axée sur le contenu », a déclaré Thomas Phelps, directeur de l’information et vice-président principal, Stratégie d’entreprise chez Laserfiche. « Nous croyons que notre vision axée sur le cloud et notre engagement à renforcer l’autonomie de nos clients dans les industries hautement réglementées expliquent cette reconnaissance dans le rapport The Forrester Wave: Content Platforms. »

Le rapport The Forrester Wave™: Content Platforms, Q2 2021 évalue les fournisseurs selon 25 critères regroupés en trois catégories de haut niveau, soit l’offre actuelle, la stratégie et la présence sur le marché. Pour en savoir plus, téléchargez le rapport ici.

À propos de Laserfiche

Laserfiche est le principal fournisseur de logiciels à la demande offrant des solutions de gestion intelligente du contenu et d’automatisation des processus opérationnels. Grâce à de puissants flux opérationnels, à des formulaires électroniques ainsi qu’à la gestion et l’analyse de documents, la plateforme Laserfiche® accélère les processus d’affaires, ce qui permet aux dirigeants de se concentrer sur la croissance globale de leur entreprise.

Laserfiche est une pionnière en matière de gestion du contenu des entreprises pour éliminer l’utilisation du papier au bureau. Aujourd’hui, son approche de développement axée sur le cloud intègre les innovations en matière d’apprentissage machine et d’IA, afin de permettre aux entreprises de plus de 80 pays de passer au numérique. Les clients issus de tous les horizons – gouvernement, éducation, services financiers, soins de santé, fabrication – font appel à Laserfiche pour accroître leur productivité, prendre de l’expansion et offrir des expériences client axées sur le numérique.

Basés dans différents bureaux aux quatre coins du globe, les employés de Laserfiche s’engagent à réaliser la vision de l’entreprise : renforcer l’autonomie des clients et inspirer les gens à repenser comment la technologie peut transformer leurs vies.

Pour communiquer avec Laserfiche :

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Syrian Refugees in Somalia Enrich Culture, Contribute to Economy

Since the war in Syria broke out a decade ago, refugees have fled to countries in the Middle East and Europe as well as to countries in Africa that face instability, like Somalia. But now Somali officials say Syrian refugees are enriching the host nation culturally and economically.

Zakariye Azerkan is a Syrian refugee who fled civil war in his homeland two years ago to seek opportunities in Somalia, a country that is still recovering from internal conflict.

Now he is chef and manager of Alwarda Alshamia, a popular Syrian restaurant in Mogadishu.

He says he expects other Syrians will find opportunities here and open new projects, even though Somalia is still emerging from war. There are Syrian dentists who have already opened clinics, he says, and other doctors with various specializations who operate medical centers in Mogadishu.

Azerkan’s restaurant serves as a meeting place for Mogadishu’s Syrian community. Recent arrivals to the city come here for orientation.

Thirteen-year-old Mohamed Musa and his family arrived in Mogadishu just a few days ago. They dine with Somali locals, who are now accustomed to Syrian cuisine.

Musa says that he urges all Syrian immigrants or even Somalis to come to this restaurant because the food here is irresistible. He says it feels as if he was back in his home country.

Dr. Mohamud Salih is among the Syrian refugee medical professionals offering their skills to a country that lost most of its skilled workers to civil war, poverty and years of lawlessness.

Salih has been in Somalia for the past four years and has fully integrated with the local community. The dental surgeon runs one of the best-equipped clinics in Mogadishu and is credited for performing safe, successful operations.

Salih says he has settled here with his family.

Since he has been in Mogadishu for four years with his wife and children, he says he considers himself a Somali citizen. He said his children are now attending Somali schools. Salih says his family also consider themselves as Somali.

Syrians who chose to find refuge in Somalia away from their war-torn country may have been driven by the good historical relations between the two countries. In their peace times, both countries shared similar political ideologies.

Abdulwahab Sheikh is a Somali scholar and an expert on international relations and culture.

He says there has been a long-standing relationship between the two nations that begun during the military regime that ruled Somalia and the Baath-led government in Syria. These strong bilateral relations remained and after Syria became engulfed in civil war, some opted to come to Somalia, where there are no visa restrictions for Syrian citizens.

There is no official data on the number of Syrian refugees living in Mogadishu, and not all are as successful as Azerkan and Salih. What is clear is that many of these refugees are making a positive contribution to the local economy and culture.

Source: Voice of America

Zimbabwe Court Grants Bail to New York Freelancer After 3 Weeks in Prison

Zimbabwean prison authorities released New York Times freelancer Jeffrey Moyo on Wednesday, one day after the High Court in Bulawayo granted him bail.

Police arrested the 37-year-old in May, alleging he helped two of the U.S. newspaper’s journalists illegally enter Zimbabwe.

Moyo’s attorney, Doug Coltart, a Zimbabwean human rights lawyer, said Moyo should have been released a day earlier, but prison officials noted a problem with the warrant of liberation.

Speaking from Bulawayo via a messaging app, Coltart voiced anger about his client being detained an extra day.

“It’s a typical tactic which is used to extend the detention of prisoners after they have been granted bail, which is why the legal team specially requested to see the warrant of liberation before leaving the Magistrates Court,” Coltart said. “That request was denied, which is why when prison officials started claiming that there was an error on it late in the evening last night (Tuesday) again, the legal team requested to see the warrant of liberation. That request was again denied.”

Government officials were not immediately available to comment on Moyo’s case.

Moyo was arrested on May 26, along with a Zimbabwe Media Commission official, Thabang Manhika, for allegedly processing fake accreditations for two South Africa-based Times journalists who entered Zimbabwe last month and have since been deported.

Western diplomats and international press freedom groups voiced concerns about the arrests.

A lower court had denied Moyo and Manhika bail, saying they were a danger to national security because they helped U.S. journalists interview Zimbabweans without the government’s permission.

“The state papers on appeal essentially admit that the grounds they advanced for opposing (Moyo’s) bail in the magistrates court were baseless and frivolous and essentially they do not have any case against and that he is not a national security threat as they alleged,” Coltart said.

The government has dismissed accusations that Zimbabwe is disregarding media freedom.

On social media, The Information Ministry secretary, Ndabaningi Mangwana, said Moyo and Manhika had been arrested for breaking immigration laws.

Tabani Moyo of the Media Institute of Southern Africa — who is no relation to Jeffrey Moyo — said he welcomed Jeffrey Moyo’s release and was looking forward to the trial.

“Trial of Jeffrey Moyo is a trial on fairness in that you are only guilty when proven such,” he said. “Fairness is a key element in discharge of our judiciary services. So we are saying it’s fairness on trial that he is out on bail. It is the first step in that process. And we hope that to the conclusion of the case, fairness will be at the center of the trial as it should be to every Zimbabwean.”

No trial dates have been set for Manhika and Moyo. The two men face up to 10 years in prison if convicted.

Source: Voice of America

TSC President Receives Credentials of Ambassadors of Eritrea and Kenya

Khartoum, June 16(SUNA)-The President of the Transitional Sovereignty Council(TSC), Gen. Abbdul-Fattah Al Burhan received Tuesday at the Republican Palace credentials of Issa Ahmed Issa as Ambassador of Eritrea to Sudan resident in Khartoum and credentials of the new Kenyan Ambassador resident in Khartoum.

The Eritrean Ambassador expressed in a press statement following the hand-over ceremonies his pleasure to work in Sudan, pointing out that his mission comes at time the region is experiencing delicate developments .

He said would exert his utmost efforts on cooperation with the concerned bodies in Sudan to develop and cement relations between the two countries as ewll as consolidating ties of friendship and common understanding

While the Kenyan ambassador said that he would work with the relevant circles in Sudan to explore ways and means that link the two brotherly countries.

Source: Dehai Eritrea Online

UN Calls for Better Remittance Services at Lower Cost

The United Nations is urging reforms that make it easier for migrants to send money back to their home countries, as it observes its annual International Day of Family Remittances.

“Migrants have shown their continued commitment to their families and communities during the pandemic with more remittances transfers made digitally than ever before,” Gilbert Houngbo, president of the U.N.’s International Fund for Agricultural Development, said in a statement. “Unfortunately, families in rural and remote areas — where remittances are a true lifeline — battle to access cash outlets or even more convenient alternatives such as mobile money accounts. Governments and the private sector need to urgently invest in rural digital infrastructure to address this.”

U.N. Secretary-General Antonio Guterres used his own statement to call for remittance fees to be set “as close to zero as possible,” and for those in the industry to “foster the financial inclusion of migrants and their families.”

“Looking forward, we must continue efforts to support and protect migrants, who — as the COVID-19 pandemic has made clear — play such an important role in keeping essential services and the economy at large running in many parts of the world,” Guterres said.

Data from the World Bank showed remittances to low- and middle-income countries hit $540 billion in 2020, a decline of 1.6% from the previous year. It said last month it expects the amount of money sent to those countries to increase by 2.6% this year and 2.2% in 2022.

Latin America and the Caribbean saw an increase of 6.5% in remittances received last year, according to the World Bank, followed by 5.2% in South Asia and 2.3% percent in the Middle East and North Africa.

Remittances declined 7.9% to East Asia and the Pacific, and 9.7% to Europe and Central Asia. Remittances to sub-Saharan Africa rose 2.3%, not counting Nigeria, which saw the amount of money sent there by migrants plummet 28%.

India, China, Mexico, the Philippines, Egypt and Pakistan were the top destinations for migrants to send money in 2020.

Migrants working in the United States, United Arab Emirates, Saudi Arabia, Switzerland and Germany sent the most money home, according to the World Bank.

Worldwide, the U.N. says there are 200 million migrant workers who send money to support more than 800 million family members, and that in 2020, 75% of that money was spent on “immediate needs.”

The United Nations has set a target for those facilitating remittances to charge no more than a 3% fee. But the World Bank said that at the end of last year, the global average fee to send home $200 was 6.5%.

Source: Voice of America